Yi king (livre des Mutations)

Classique chinois écrit au 8ème siècle avant JC

La seule chose qui ne changera jamais
C’est que tout est toujours en train de changer.

Sevrage tabagique

Dominique Georget-Tessier, Novembre 2010

Dépendance tabagique : complémentarité des approches

J’ai choisi de vous présenter ce sujet parce qu’il confère au médecin généraliste  un rôle de premier plan et au généraliste homéopathe une place particulière.

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Julos Beaucarne

In « Mon terroir c’est les galaxies » (1978), disponible en CD chez EPM musique

Croyez en l’extase des nuages
qui traversent les grands horizons,
au petit vent du soir,
au cœur de l’été chaud.
Croyez en la douceur d’une amitié,
d’un amour,
à la main qui serre votre main.
Car demain, mais n’y pensez pas,
demain éclateront peut-être
les nuages et l’orage emportera,
vos amours.
Tenez-vous serrés,
ne vous endormez pas sur un reproche
non formulé,
endormez-vous réconciliés.
vivez le peu que vous vivez
dans la clarté.

Henri Matisse

Peintre 1865-1954

Il y a des fleurs partout pour qui veut bien les voir

Rainer Maria Rilke « lettres à un jeune poète » 1904

Les dragons de notre vie

Peut-être tous les dragons de notre vie sont-ils des princesses qui n’attendent que le moment de nous voir un jour beaux et courageux. Peut-être que toutes les choses qui font peur sont au fond des choses laissées sans secours qui attendent de nous le secours. Pensez qu’il se produit quelque chose en vous, que la vie ne vous a pas oublié, qu’elle vous tient dans sa main ; elle ne vous abandonnera pas.Pourquoi voulez-vous exclure de votre vie toute inquiétude, toute souffrance, toute mélancolie alors que vous ignorez leur travail en vous.

Aussi, ne devriez-vous pas vous effrayer quand se lève devant vous une grande tristesse, comme vous n’en n’avez jamais vu de tel.

Pourquoi vouloir vous torturer en vous demandant d’où tout cela peut bien venir et à quoi tout cela aboutira ?

 Vous savez bien que vous êtes dans des états transitoires et que vous ne désirez rien tant que de vous transformer. Si certains de vos états sont maladifs, considérez que la maladie est le moyen qu’a l’organisme pour se libérer de ce qui lui est étranger ; il faut alors simplement l’aider à être malade, à avoir la maladie dans sa totalité, à la laisser se déclarer, car c’est par là qu’il progresse…

Vous êtes le médecin qui doit veiller sur lui même… Et voilà ce qu’il faut faire avant tout pour autant que vous soyez votre médecin.